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Articles

Affichage des articles du août, 2016

Elisabeth Atangana : « L'agriculture est l'avenir de l'Afrique et les femmes un maillon fort de ce secteur »

Ambassadrice de la FAO et présidente des organisations du secteur agricole comme la PAFO et le Forum des Agriculteurs panafricains, Elisabeth Atangana est sans doute, celle-là qui, incarne la lueur d’espoir pour de nombreux agriculteurs tant au Cameroun qu’à l’extérieur. Pour cette dame de caractère, entre ses activités quotidiennes et sa vie de fermière, il n’existe aucune entorse ; la preuve : elle s’exprime ici sans détour en donnant son avis tout  azimut, sur la question de l’agriculture qui lui est si chère.   Agricultrice il y a une trentaine d’années, vous êtes aujourd’hui Ambassadrice spéciale de la FAO et présidente de deux Institutions : la Plateforme panafricaine des Organisations (PAFO) et le Forum des Agriculteurs panafricains. Comment êtes-vous arrivée là ? Tout d’abord, je suis fille de paysan et tout ce que j’ai pu faire, c’est sur la base du résultat du travail des paysans et des paysannes. C’est par rapport à cela que j’ai pu décider de vouloir me consacre

Armand Claude Abanda : Le Gabon est ma seconde patrie

« Fils de Prélat » inscrit au programme scolaire au Gabon Education. Le roman du camerounais Armand Claude Abanda sera étudié par les élèves de seconde de ce pays.      Théophile Maganga, directeur de l’Institut pédagogique national du Gabon a séjourné  au Cameroun. Le 20 juillet, une séance de travail regroupant Armand Claude Abanda et des responsables gabonais et camerounais, s’est tenue au   ministère des Arts et de la culture (Minac). « Ma mission était de rencontrer l’éditeur pour qu’il mette en place les conditions nécessaires pour faciliter l’accès du livre aux élèves. Le système éducatif gabonais, est ouvert à   l’international à ceux qui ont de bons produits et qui nous les proposent. Ces produits sont analysés, revus et nous faisons des propositions à l’auteur et à son éditeur pour qu’ils soientt conforme aux normes du système éducatif gabonais. Ça été le cas avec Armand Claude Abanda, qui a demandé que son livre soit analysé », a expliqué Théophile Maganga.