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Articles

Affichage des articles du mars, 2016

Echos des marchés : L’oignon est moins cher

Credit photo :Agrinetwork L’oignon est disponible en grande quantité sur les comptoirs des vendeuses. La variété qu’on trouve le plus et l’oignon rouge ou plus exactement blanc et violet. Au marché Etoudi, de Nkolt-Eton et du Mfoundi, les tableaux des commerçantes affichent des prix qui ont redonné du sourire aux ménagères. En effet, les condiments, te, l’oignon est l’un des condiments le plus utilisé. Pas seulement à cause de son goût unique mais aussi de sa grande valeur nutritive, son apport en vitamines A, B et C notamment.  Sur, les étals, un gros oignon d’un poids semble à celui d’un pamplemousse moyen coûte 100 F Cfa, ceux de la taille d’une petite orange coûte 50 F Cfa, tandis que les plus petits sont vendus à 25 l’un. Avec 1000 F Cfa, une cuisinière peut acheter une portion de 8 gros oignons. Au commerce en gros, les prix sont également abordables avec un filet d’oignons rouges coûte environ 5000 F Cfa.  Une véritable aubaine quand on sait qu’il y a quelques mois pour

Danielle Eog, Krotal et Macase sur la route de Francfort

Musique.  Invités par Music in Africa, le trio participera à une foire internationale en Allemagne  du 7 au 10 avril. Un avant-concert  gratuit est prévu ce jour au Centre culturel camerounais à Yaoundé. L’année a commencé sur de belles auspices pour les Le groupe de musique Macase, le rappeur Krotal et la chanteuse Danielle   Eog  Makedah.  Le trio, emblème d’une musique camerounaise urbaine et métissée ont choisi par Music In Africa pour représenter le Cameroun à la foire internationale de la musique du 7 au 10 avril 2016 à Francfort en Allemagne. Placé cette année sous le thème « Future forum focus on africa », la foire « Musikmess » s’ouvre ainsi pour la première exclusivement à la musique africain. Au-delà des concerts, ces artistes participeront à de nombreuses activités comme, des ateliers d’échanges au pop académie à Mannheim toujours en Allemagne. Le 2 mars, ils ont donné un aperçu du spectacle Yaoundé. Danielle Eog. Photos : Goethe Institut  Le choix de ces ar

Scolarisation de la jeune fille : Des promoteurs culturels s'engagent

Education. Le Bifty 2016 lance une campagne d’alphabétisation en faveur des filles des régions de l’Est et de l’Extrême-Nord.    Le divertissement culturel et la problématique de l’éducation des jeunes sont-elles deux missions compatibles ? Pour l’entreprise de communication « On spot » qui organise des concerts au Cameroun, la réponse est oui. Depuis 2014 dans le cadre de son concept « Be involved of the Youth », elle a coordonné les concerts de Psquare, Brackett et Eddy Kenzo ainsi que des activités éducatives dans les lycées de Yaoundé.  « Cette année nous souhaitons donner une autre envergure aux activités éducatives que nous menons afin qu’elles soient plus participative et innovantes. C’est pourquoi le thème retenu pour le Bifty 2016 est « Girl’s éducation ».En effet, on constate pour le déplorer que la scolarisation des filles reste une préoccupation majeure au Cameroun. Afin de promouvoir l’éducation des filles, sensibiliser les populations sur ce problème épineux, nous

Cameroun : Le boom de l’internet mobile

Numérique. Wifi sécurisé, forfaits journaliers, hebdomadaires ou mensuels pour téléphone ou ordinateurs , l’offre en internet mobile s’est démocratisée. La mine quelque peu triste, Ornella Wenci se décide enfin à quitter la salle d’attente d’une des dernières entreprises de téléphonie mobile installées au Cameroun. « La vendeuse vient de m’annoncer que les clés internet sont finis. C’est la deuxième fois que je viens ici en une semaine », explique la jeune étudiante. Sa mésaventure pour banale qu’elle soit traduit cependant un fait important : La demande en internet mobile a connu une forte croissance ces dernières années au Cameroun. On assiste actuellement à ce que les experts appellent « le boom de l’internet mobile ».  Une évolution technologique qui met fin à cette époque où les cybers café étaient les seuls points de connexion accessibles aux particuliers. « C’est normal. Aujourd’hui les gens veulent être connectés partout et à tout moment. Et les moyens technologique