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Affichage des articles du janvier, 2016

Emergence, les propositions des plasticiens

Exposition . Dans le cadre de la rentrée culturelle au ministère des Arts et de la  culture, des artistes exposent au monument de la Réunification. Le site du  monument de la Réunification n’avait pas connu une telle effervescence depuis des années. Hier, tout le gratin du monde culturel s’est retrouvé dans les jardins de ce monument symbole de l’unité et de la diversité du Cameroun, pour une exposition collective.  Au premier rang, Narcisse Mouelle Kombi le ministre des Arts et de la culture accompagné de Marie Thérèse Abena, ministre de la Promotion de la femme et de la famille,  de Grégoire Owono, ministre du Travail et de la sécurité sociale et Jacques Fame Ndongo, le ministre de l’Enseignement supérieur. Dans le cadre de sa rentrée culturelle 20016, le Minac organise depuis lundi, une série de manifestations artistiques.  Réalisée sur le thème : « Culture et émergence », l’exposition collective  ouverte hier est l’un des points forts de ce déploiement. El

Plaidoyer pour une meilleure gestion des terres camerounaises

Gestion foncière.  Des associations dénoncent l’opacité dans laquelle des terres sont cédées aux exploitants miniers et agro-industries étrangers.  Depuis 2010, plus de 176 permis de recherche et 05 permis d’exploration ont été accordés  par le gouvernement aux exploitants miniers désireux d’investir au Cameroun. D’après, le Réseau de lutte contre la faim (Relufa) et le Centre d’accompagnement de nouvelles alternatives de développement local (Canadel) qui communiquent ces informations, le flou règne toujours dans la gestion des ressources naturelles au Cameroun. «Les permis sont octroyés sans aucune procédure de concurrence. Tout se passe de gré à gré et bien souvent sans que les élus locaux où ses projets sont implantés soient consultés. L’information ne circule pas au sein de la population, qui ne sait pas toujours à quoi s’attendre. Car, faute de suivi sur le terrain, les permis d’exploration, se transforment très vite en permis d’exploitation », regrette André Marie Afoufa, le

Plaidoyer pour une meilleure gestion des terres camerounaises

Gestion foncière.  Des associations dénoncent l’opacité dans laquelle des terres sont cédées aux exploitants miniers et agro-industries étrangers.  Depuis 2010, plus de 176 permis de recherche et 05 permis d’exploration ont été accordés  par le gouvernement aux exploitants miniers désireux d’investir au Cameroun. D’après, le Réseau de lutte contre la faim (Relufa) et le Centre d’accompagnement de nouvelles alternatives de développement local (Canadel) qui communiquent ces informations, le flou règne toujours dans la gestion des ressources naturelles au Cameroun. «Les permis sont octroyés sans aucune procédure de concurrence. Tout se passe de gré à gré et bien souvent sans que les élus locaux où ses projets sont implantés soient consultés. L’information ne circule pas au sein de la population, qui ne sait pas toujours à quoi s’attendre. Car, faute de suivi sur le terrain, les permis d’exploration, se transforment très vite en permis d’exploitation », regrette André Marie Afoufa, le